L’obscurité du séjour était percée par la jour vacillante des bougies, projetant des ombres mouvantes sur les murs tapissés d’étoffes anciennes. L’air était chargé de cette loi d'attraction exceptionnelle, mariage délicat de rafraîchissement et de pertinence en suspens. Noémie, assise arrière sa table de velours, sentait encore l’empreinte de la extrême consultation flotter autour d’elle, un écho silencieux de ce qui venait d’être révélé. Chaque consultation téléphonique de Lauriana Voyance laissait une marque invisible, une énergie qui continuait d’exister même postérieur le départ des clients. Le chat enliser, posté sur le rebord de la fenêtre, observait l'obscurité attentionnément. Il savait, tout à savoir Noémie, que les âmes à la recherche de explications ne cessaient jamais de ôter. 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Elle ouvrit la porte, et l’air nocturne s’engouffra dans la pièce, qui apportent avec lui l’odeur des pavés humides et du bois ancestral. Elle franchit le borne sans se inoculer, laissant à la suite elle une part de ce qu’elle portait en allant. Noémie resta immobile un évènement, sentant l’espace redémarrer son disposition. Le chat maussade sauta sur une chaise, s’étira longuement évident de se lover dans un endroit du séjour, symbolisme que la tension artérielle de la pratique s’était dissipée. Elle éteignit une visage, laissant la bague s’enfoncer un doigt plus dans la pénombre. Bientôt, une autre esprit viendrait cravacher à bien cette porte, cherchant à son tour ce que seule Lauriana Voyance pouvait révéler. Dans la grande ville endormie, une lignes avançait déjà, poussée par cette cadence invisible qui menait nettement celui qui cherchaient des justifications à bien franchir ce cadre. 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